Médecine du sommeil
« En France, entre 2 et 3 millions de personnes souffrent d’apnée du sommeil mais près de la moitié d’entre-elles l’ignorent faute de s’être faites diagnostiquer.
S’il faut se garder des généralités, on sait que les arrêts respiratoires nocturnes affectent d’abord celles et ceux qui ont un IMC élevé, et que plus on avance en âge, plus les risques augmentent. Après 45 ans, il n’y a rien d’anormal à ce que le sommeil s’agite ! Un diagnostic s’impose alors.
A travers un parcours cohérent et personnalisé (campagne de sensibilisation, questionnaire de dépistage, enregistrement de sommeil, traitement adapté), Hapni vous permet de retrouver un sommeil réparateur et de vous sentir moins fatigué dans la vie de tous les jours. La corrélation entre la qualité de la nuit et le bien-être au quotidien n’est plus à prouver.
Au-delà de trente apnées du sommeil par heure, cette maladie insidieuse est à prendre très au sérieux. Elle peut en effet engendrer des somnolences diurnes voire fomenter des épisodes dépressifs. Dans certains cas extrêmes mais fort heureusement isolés, l’apnée du sommeil dépasse le cadre de l’asphyxie et peut être à l’origine d’AVC (2) ou d’arrêts cardiaques. Ce n’est donc pas un hasard si elle a été décrétée pathologie de santé publique. »
(1) Indice de Masse Corporelle
(2) Accident Vasculaire Cérébral